Une pandémie, un miroir :
La pandémie a bousculé notre mode de vie de façon drastique. Tout a changé : notre approche du travail, nos interactions, nos ambitions. Mais un aspect est resté étonnamment inchangé – notre attitude envers les aînés, les plus touchés par la crise.
Un oubli flagrant :
Les aînés ont été les principales victimes de la pandémie. Nombre d’entre eux ont perdu la vie ou en sont sortis affaiblis. Malgré leur vulnérabilité, avons-nous suffisamment amélioré leurs conditions?
Le rejet inconscient :
Si les aînés semblent invisibles aux yeux de la société, c’est peut-être parce que nous refusons de voir notre propre vieillissement. Un voile de déni nous pousse à nous montrer sous notre meilleur jour, oubliant ainsi la réalité inévitable.
Des chiffres qui parlent :
Selon les projections, la population vieillissante augmente. En 2050, une personne sur six dans le monde aura plus de 65 ans. Il est impossible de continuer à ignorer ou exclure cette part croissante de la société.
La vieillesse : notre futur commun :
Le paradoxe est que la vieillesse est un chemin que nous emprunterons tous, si la chance nous sourit. Ne devrions-nous pas, alors, œuvrer pour un avenir où l’âge avancé est célébré plutôt que stigmatisé?
Rupture avec les préjugés :
À une époque où l’inclusion prend de l’ampleur, il est temps de réaliser que l’âge ne devrait pas être un critère d’exclusion. Le peu de visibilité des personnes âgées dans les médias n’est qu’un reflet de la mise à l’écart opérée dans la société.
Le présent est pour tous :
Quel que soit notre âge, nous faisons partie du présent. Chaque individu mérite de vivre pleinement, à 100%, chaque moment de sa vie.
En Conclusion :
Les aînés méritent plus que jamais notre respect, notre attention et notre amour. Il est temps de changer la narration et de valoriser chaque étape de la vie.